Un poulet au curry rouge thaï au lait de coco et légumes sautés : une recette facile et exotique pour égayer vos assiettes.
Y’a une époque dans ma vie où on me surnommait « Poulet coco ». C’était quand je débutais en cuisine et que le principal plat de mon arsenal de recette était un Poulet au curry et au lait de coco. À l’époque dans ma grande naïveté je croyais encore qu’il n’existait qu’un curry, le curry jaune / orange en poudre trouve dans les supermarchés en petit flacon.
J’ai cuisiné ça à mes potes quand j’étudiais à l’étranger, j’ai cuisiné ça à mes parents, et à ma chérie aussi quand je l’ai rencontrée. J’ai cuisiné ce plat à peu près à toutes les personnes qui ont eu la chance (ou la malchance) de venir un jour bouffer chez moi. Au bout d’un moment je me suis dit « quand même mec, tu tournes en rond avec ton vieux poulet coco »… et là j’ai découvert la cuisine thaïe.
Ben ouai, pour ceux qui ne sont pas au courant, l’Inde n’a pas le monopole du curry. Dans la cuisine thaïe (ou cuisine thaïlandaise, on dit ça comme on veut), on est aussi à fond sur les curry. On en trouve des rouges, des jaunes, des verts (voir notre super recette de poulet thaï au curry vert), et même des oranges, en poudre ou en pâte, en feuilles… Mais le curry thaï n’a rien à voir avec les curry indiens ! En Inde c’est plutôt la poudre qu’on connaît, qui est un mélange d’épices variés (le curcuma lui donne sa couleur jaune, mais il y a aussi du paprika, coriandre, cumin… tout dépend du fabricant !).
En Thaïlande, en revanche quand on parle de curry on parle généralement d’une pâte de piment à laquelle on ajoute des épices et des condiment (galanga, citronnelle) et des herbes fraiches. Rien à voir avec la poudre qu’on trouve chez Auchan. Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à visiter notre page « Les curry thaïlandais ou thaï : recettes, ingrédients et conseils« .
Les différents curry thaïlandais
Des pâtes de curry thaïs il y en a plein : le curry rouge à base de piments rouges, le curry vert à base de piment vert (que vous retrouvez aussi sur notre recette d’agneau thaï au curry vert), curry Massaman aux épices anisées… Les pâtes de curry c’est essentiel dans la cuisine thaï, presque autant que le traditionnel Pad Thaï au poulet ou la soupe de poulet au lait de coco (Tom Kha Kaï).
Dans cette recette, je vous donne donc ma recette de pâte de curry rouge, et ensuite je vais vous expliquer comment la cuisiner pour faire un poulet au curry rouge thaï au lait de coco, avec des légumes et du riz, tout simplement.
Le poulet au curry rouge thaï au lait de coco : la recette
Alors pour cette recette c’est simple. D’abord vous faites la pâte de curry rouge (ou vous l’achetez). Ensuite, il suffit de faire revenir les morceaux de poulet dans une poêle bien chaude avec l’ail et l’oignon. Ajoutez la pâte de curry rouge, puis le lait de coco et laissez mijoter légèrement pour avoir une sauce bien onctueuse. Servez avec des légumes sautés et du riz !
Dans le détail, voilà comment faire :
La pâte de curry rouge thaï
On va donc commencer par la pâte de curry rouge thaï. Il s’agit simplement d’écraser au mortier (ou au mixeur si vous avez la flemme) les différents ingrédients pour qu’ils diffusent au maximum leurs saveurs !
Ingrédients de la pâte de curry rouge thaï
10 à 15 piments longs rouges séchés, trempés puis essorés
1 branche de citronnelle
le zeste d’un combava (ou d’un citron vert)
2 échalotes
2 gousses d’ail
1 noix de galanga
1 c.a.c de pâte de crevette
1 c.a.c de graines de coriandre moulue
1 c.a.c de graines de cumin
3 clous de girofle
un peu de noix de muscade
un peu de sucre de canne
Préparation de la pâte de curry rouge thaï
Avant tout, on va commencer par faire tremper nos piments séchés. On les laisse tremper 30 minutes dans de l’eau chaude, puis on les égoutte et on les essore. Ensuite, on va torréfier les épices et rôtir les ingrédients. Pour cela faites chauffer fortement une poêle sans matière grasse et ajoutez les épices. Pendant ce temps faites rôtir l’ail, l’échalote, le galanga au four 20 minutes à 160 degrés.
Ensuite, rien de plus simple : mettez tous les ingrédients dans votre mixeur et mixez jusqu’à obtenir une pâte homogène. Vous pouvez aussi ajouter un peau d’eau pour faciliter le mixage mais pas trop car il faut garder une texture pâteuse. Ah, pour la pâte de crevette, c’est un condiment spécial vendu dans les épiceries asiatiques. Pour en savoir plus : La pâte de crevette : où la trouver, par quoi la remplacer ?
Cette recette de base est celle de David Thompson, chef étoilé à Bangkok au restaurant Nahm. C’est l’un des seuls chefs étoilés à proposer de la cuisine thaïlandaise traditionnelle dans le monde, et ses recettes sont de vraies références.
Mais vous pouvez très bien agrémenter cette pâte de curry autrement, en rajoutant des épices comme il vous plait. Ah et théoriquement, vous devriez au lieu de mixer les ingrédients les écraser progressivement au mortier et pilon. Mais bon autant se faciliter la vie…
Avec les proportions indiquées, vous aurez largement de quoi faire plusieurs curry. Le truc c’est que les ingrédients pour cette pâte, c’est dur de les acheter assez petites quantités pour avoir juste la bonne dose. Donc autant en faire en grande quantité, c’est plus simple à mixer, et en plus ça se conserve hyper bien pour être réutilisé plus tard. Vous pouvez le mettre dans un bocal au frigo, mettez juste un peu d’huile d’arachide par dessus. Normalement ça se conserve très bien ! Sinon congelez ! Astuce : vous mettez ça dans un bac à glaçon et quand c’est congelé, hop dans une boîte hermétique au congélateur et y’a plus qu’à sortir une dose pour la cuisiner.
La recette du poulet au curry rouge thaï et lait de coco
Ingrédients du poulet au curry rouge au lait de coco
Pour 4 personnes
2 escalopes de poulet
2 hauts de cuisse de poulet
un peu de pâte de curry rouge
Légumes divers
Coriandre
2 oignons
1 gousse d’ail
oignons frits
1 c.a.s de sucre de palme (ou sucre de canne)
2 c.a.s de sauce de poisson (nuoc mam ou nam pla)
20 cl de crème de coco ou de lait de coco
Préparation du poulet au curry rouge au lait de coco
Bon donc on a déjà la pâte de curry, reste à faire cuire le poulet et les légumes. J’utilise à la fois du haut de cuisse et du blanc de poulet pour cette recette, histoire d’avoir deux textures de viande.
D’abord, désossez vos hauts de cuisse et retirez la peau et le gras. Faites chauffer dans un peu d’huile d’arachide. Quand c’est bien chaud, ajoutez les morceaux de poulet (en cubes), ainsi que l’ail et oignon hachés. Laissez colorer et caraméliser légèrement pendant 5 minutes.
Ajoutez la pâte de curry rouge (à votre goût) dans votre poêle et laissez la « frire » quelques instants. Ajoutez ensuite progressivement le lait de coco pour déglacer la poêle. Mélangez bien pour dissoudre la pâte de curry. Assaisonnez avec un peu de nuoc mam (si ça manque de sel) et un peu de sucre de palme. Laissez cuire jusqu’à ce que le poulet soit cuit à cœur, et ajoutez au besoin un peu d’eau à la sauce si vous constatez qu’elle réduit trop.
Pour servir ce plat, accompagnez le de légumes de saison et évidement, de riz. La cuisine thaï utilise beaucoup l’aubergine, ou les légumes sautés mais vous pouvez servir avec ce que vous voulez. En automne, on peut utiliser une grosse aubergine rôtie au four et tranchée et du potimarron poêlé, quelques carottes, et des pousses d’épinards. Pensez aussi aux oignons nouveaux, échalotes, mais aussi poivrons en été, voire patate douce !
Ajoutez un peu de coriandre, quelques oignons frits et dégustez bien chaud !
La quantité de pâte de curry à utiliser dépend de votre goût : c’est assez pimenté donc si vous n’aimez pas trop le piquant allez y doucement. Évidemment vous pouvez faire ce plat avec du bœuf, du porc et de l’agneau. Il faudra juste adapter votre temps de cuisson ! Et si par hasard il vous reste du lait de coco, vous pouvez toujours essayer notre recette de dos de cabillaud au lait de coco et pamplemousse rose, qui déchire aussi.
Et si vous aimez la cuisine thaïe, sachez qu’on a aussi une recette de bœuf thaï sauté au basilic, un agneau sauté façon thaï, ainsi qu’une recette de crevettes sautées façon thaïe.
Quel vin boire avec un curry rouge thaï au poulet et lait de coco ?
Pour accompagner ce poulet au curry rouge et lait de coco, les vins rouges sont à proscrire. Bah ouai le curry est déjà fort, il risquerait de bousiller tous les arômes d’un vin rouge. Il faudrait plutôt un truc pour « calmer » le piquant du plat. Nous vous conseillons plutôt un vin blanc de type gewurztraminer, ou un pinot gris alsacien ou encore un chenin de Loire. Le but est de retrouver dans le vin certain des arômes du plat (épices), tout en y trouvant de la fraîcheur pour ne pas alourdir l’ensemble.
En règle général avec ce plat, on peut choisir un vin blanc sec bien aromatique ou un moelleux pas trop liquoreux. En effet le curry étant déjà légèrement sucré par le lait de coco et le sucre de palme, il vaut mieux éviter les sauternes trop chargés en sucre.
Exemple de vins qui conviennent à ce plat :
- Gewurztraminer 2012, domaine Marcel Deiss (Alsace)
- Tokaji sec 2013, château Dereszla (Tokaji, Hongrie)
Si vous aimez cette recette, vous aimerez aussi probablement notre recette de pad thaï au poulet, notre filet de lieu noir au curry et au lait de coco, ou notre recette d’agneau au curry vert ! Et si vous voulez faire du poulet mais que vous manquez d’idée, vous pouvez toujours aller voir : le poulet à la provençale, le poulet aux girolles et au vin jaune, le poulet façon coq au vin… à vous de voir !
Hoffmann Brigitte
Merci pour cette bonne recette. Mes enfants ont adoré . C’est agréable d’avoir enfin un site où le résultat est vraiment bon et en plus les plats sont joliment dressés. Je suis vraiment contente d’avoir trouvé votre site 🙂
Couteaux
Oh vous êtes trop sympa ! Ben j’espère que les autres recettes vous plairont aussi ! En tout cas vos enfants ont bon goût c’est rare les enfants qui aiment la cuisine épicée !
Benoit Finet
Le vocabulaire laisse bien à désirer, c’est bien dommage car les recttes sont sympatiques !
Allez on les corrige les : bouffer on remplace par manger, les y’a par il y a, les ouais pas oui, les potes par amis … et les recettes seront encore meilleures avec un petit goût de perfection. Quand on aime la bonne cuisine pourquoi ne pas aimer le beau langage !
Vous avez dit « ringard » oh! Non , pourquoi dénaturer le beau pour le terne et moche !
Bien cordialement
Benoît
Couteaux
Mon cher Benoît,
C’est avec un grand regret que j’apprends ce jour votre désappointement quant au style d’écriture que nous employons ici. Sachez, Benoît, que notre intention n’était nullement de choquer, de blesser les consciences ou d’affirmer par ces mots une quelconque accointance avec le terne, le moche et l’imparfait. Jamais, ce blog n’a voulu être l’apôtre du mauvais goût, jamais il n’a voulu être l’avatar de ces gens qui dénaturent la langue, jamais il n’a voulu écorcher celle de Molière.
Pour ma défense, laissez-moi essayer d’expliquer l’emploi de ces mots que vous jugez si durement.
La cuisine, d’aussi loin que ma mémoire vacillante me permette de remonter, a toujours été pour moi le symbole et l’incarnation parfaite de la communauté. Les éclats de rire, les couverts qui claquent dans un concert de cliquetis fugaces, les verres qui sonnent, véritables diapasons de ces moments de partage éphémères, sont depuis toujours des sons que j’associe à la famille, aux amis, aux grands rassemblements. Le repas, qu’il s’habille de la plus élégante des simplicités, les mardis soirs juste avec mes parents, ou qu’il soit l’apogée scintillante d’une grande fête de famille, a toujours été pour moi un moment d’intimité avec des personnes qui comptent.
Outre la nourriture, avalée avec gourmandise à grands coups de fourchette, ces agapes ont toujours été faites de discussions, de dialogue, de palabre. Aux grandes envolées politiques du père, à celles, plus intimes et drôles du grand-père ou de la grand-mère racontant les légendes familiales, aux souvenirs tendres de la mère et des frères et soeurs, venaient toujours s’ajouter des débats. La table est telle une assemblée populaire : vibrante, agitée, chaotique malgré les rites inconscients qui s’y succèdent. Et les bons mots qui volent, les éclats de rire, les taquineries qu’on se jette entre frères et cousins, les simagrées que l’on se joue, verre de rouge à la main, entre copains… Et les chants qu’on entonne, parfois, quand l’ivresse monte, quand on refait le match… et parfois les petites disputes, les grognements et les sensibilités qui s’irritent… mais finissent toujours par s’adoucir quand vient le temps du dessert.
Dans ces moments, qu’ils soient solennels ou plus informels, il y a une chose qui a toujours été : la convivialité. La nourriture a cela de particulier qu’elle libère l’âme. La bonne chère, partagés avec ceux qui nous sont chers, révèle toujours chez ceux qui la dégustent un furieux besoin de vivre, tout simplement, en oubliant l’espace d’un instant les formalités. Convivialité, fraternité, et j’ose le dire : familiarité, ont toujours été à mes yeux le plat principal sur la table.
À ce titre, il m’a paru évident, au moment de me lancer avec ma chère et tendre dans cette aventure littéraire, que je devais par mes mots refléter cette langue des tables, celle qui fuse aussi vite que l’on pense, celle qui n’est pas toujours lisse mais qui résonne dans les coeurs. Cette langue populaire, qui sort de notre bouche avant qu’y rentre le gigot, est une langue parfois vulgaire, parfois facile et familière, mais une langue du coeur. La cuisine, aussi, est une langue de du coeur. Ainsi, sur ce blog, j’écris comme je parle, comme je parle à mes « potes » attablés dans le salon, pendant que je suis en cuisine, tablier bien serré, préparant le repas. Comme je parle à mes frères et soeurs, eux qui m’aident souvent sur le plan de travail : « Passe-moi l’oignon et un couteaux steuplé ! ». Comme je parle à table, quand entre deux bouchées c’est la communauté qui reprend le dessus.
Je n’ai pas voulu faire de ce blog le lieu muséifié d’un langage propret, bien sur lui, pas une tache sur son tablier. Je veux que quand j’écris, quand je raconte les histoires qui m’ont menés à préparer ces plats, quand je relate les étapes laborieuses de leur préparation, on m’entende parler. Comme si j’étais là, en cuisine, avec vous. Alors peut-être, peut-être que dans votre cuisine, ces mots n’ont pas leur place, et que l’on garde chaque instant le séant qu’il est digne d’avoir quand on aime « le beau langage ». Mais ma cuisine à moi, c’est un lieu de vie ! Un lieu où la langue parfois dérape, comme le couteau qui nous entaille le doigt lorsque l’on va trop vite.
J’ai conscience que parfois, mes mots semblent crus. Mais puisque c’est de cuisine dont il s’agit, cela ne devrait pas poser problème, puisque justement je suis ici pour vous révéler tous les secrets… pour ne pas rater la cuisson !
Amicalement,
Clément (Couteaux)
Tout ça pour dire ! C’est clair qu’on emploie pas un style d’écriture distingué sur Couteaux & Tire-Bouchons : on écrit comme on parle ! Si ça vous semble trop, désolé :(… Mais l’essentiel n’est-il pas de se régaler ?
Menetrey
Grande amatrice de poésie …j’ai odoré …pardon adoré votre recette qui m’a donné envie de faire moa m’aime (ceci pour le monsieur ronchon ) la pâte de curry
Donc votre style m’a plutôt inspiré….gardez-le.
Merci le poète des fourneaux…. et certainement l’ami précieux, selon votre récit.
Ps Le critique et puriste du style devrait détester tous mes points de suspension….de très mauvais genre et très mal vu en littérature.
Anutosha
Couteaux
🙂 !!
Sophian blanc
J ai navigué, surfé et suis tombé sur ton site qui je te le dis est une perle!!! Merci à toi d avoir pris le temps de partager ta passion pour la cuisine thaï plus particulièrement qui je pense est partagée par beaucoup de monde! Recette o top, le style o top je m’y suis meme retrouvé quand tu as parler de « Mr poulet coco » tout comme toi toute personne me connaissant à deja goûter mon poulet coco
J apprend à faire avec ce site mes premier plat thaï j ai toujours voulu m y attaqué mais jamais essayé. Encore merci
Couteaux
Haha ravie d’avoir approbation d’un autre Mr Poulet Coco alors 🙂
Aude Ancelin
Bonjour,
Tout ça a l’air très bon et après avoir tenté le thaï au restaurant, j’ai envie d’en faire à la maison.
Est-ce que les recettes peuvent être préparées à l’avance et réchauffer au dernier moment ?
Merci,
Bonne continuation pour votre site.
Couteaux
Pour les curry thaï pas de problème pour réchauffer! Par contre le riz sauté ou le pad thaï c’est plus compliqué!
CLAIRE RICHARD
Bonjour,
Je découvre votre blog, très agréable à lire et à regarder.
J’ai envie de me lancer dans fabrication maison de la pâte de curry, mais… dans le cas où on n’a pas le temps, en avez-vous une (toute faite) à recommander ? En grande surface ou magasin asiatique ?
Cordialement,
Claire
Couteaux
Bonjour Claire,
Généralement je trouve plutôt la pâte de curry en magasin asiatique (oui j’en achète aussi hein, on est humains). La marque Cock est pas mal. A Paris on en trouve chez Frères Tang ou Paris Store ou même d’autres épiceries asiatiques, mais ne sachant pas où vous êtes je ne sais pas si ça vous aide… Pour info, ça ressemble à ça : https://www.asia34.fr/3703-thickbox_default/pate-de-curry-rouge-cock-400g.jpg
J’espère que vous allez trouver !
costard
bonjour bravo pour toutes vos recettes on en redemande bonne continuation et merci
Couteaux
Merciiii c’est sympa 🙂
jean-luc
la cuisine thai est un plaisir.
les thai mangent souvent « dehors » restaurant ou pas.
coteaux ne vous « auffuskez » pas (avec ph ce fut illisible)
pour Benoît: l’imparfait est passé, le passé est imparfait, plus surprenant le futur peut être antérieur donc passé, quel voyage dans le temps.
pour l’espace allons en Thaïlande.
pour le curry dans la région lyonnaise élargie:
les produits bahadourian, sont bien, je ne suis pas commissionné,
et pas seulement pour le curry
Elise Caroline
Merci ça me sauve votre site, moi qui suis trop flemmarde pour ouvrir un livre de cuisine je me résignais à rester là piètre et catastrophique cuisinière que je suis, mais là je reprend espoir en lisant vos articles car j’adore la bouffe et votre manière d’écrire fait voyager et me donne envie dessayer. En plus je dois cuisiner un plat demain pour un anniversaire et je me mettais une pression folle, là je suis rassurée je vais faire ce plat (par contre faire moi même la patte de curry on verra plus tard) et sI jamais vous voyez ce message avant demain, est ce que vous avez un conseil particulier pour le dressage ? Et les légumes, directement dans le poulet curry ?
Couteaux
Désolé j’arrive trop tard 🙁 ! Pour le dressage moi je mets dans des assiettes creuses le poulet avec la sauce et les légumes et à côté le riz ! Sur le dessus quelques herbes fraîches genre coriandre, oignons frits et le tour est joué !
Setty
Je suis tout à fait d’accord! Je suis tombée sur votre recette par hasard parce que je viens de faire une razzia chez mon magasin asiatique et juste le fait que vous parliez des divers curry dans votre premier article alors que je me faisais la même réflexion ma complètement séduite! Votre écriture et cet enthousiasme je suis très fan! Continuez à nous faire voyager et à si bien expliquer vos recettes! Merci merci merci!!
Couteaux
Ahhh merci, c’est trop sympa 🙂
Bon curry à vous !!
Cleo
Bonjour,
Quand vous parlez de piments rouges séchés, faites-vous allusion au piment oiseau ? Cela me semble fort, mais j’attends vos commentaires à ce sujet.
Cordialement,
Couteaux
Ce sont bien de longs piments séchés. Les piments oiseau sont plus forts que les piments thais. Si vous utilisez des piments oiseaux cela risque d’être très piquant. Attention toutefois : la pâte de curry est supposée être très piquante, mais on en met qu’un petit peu dans la sauce finale du plat !
Michèle CUCULIERE
Ca y est, je la tiens LA recette !!! Je viens de la tester et je me suis régalée. Depuis le temps que j’essayai de faire ce plat, j’y suis enfin parvenue grâce à votre recette. Merci
Couteaux
Génial ! <3
villain
bonjour couteaux,votre recette se rapproche beaucoup de la mienne sauf que moi!!!!je rajoute de la sauce poisson,de la citonnelle fraiche,des feuille de citron ciselés finement,et je rajoute mon poulet emincé cru dans la sauce,ce qui lui donne une texture tres fondante!
Couteaux
Oui bonne idée de le mettre directement dans la sauce, ça lui évite de sécher ! Miam
Pierre ROMAN
A l’attention de Benoit » peine à jouir » Finet : cher Monsieur le redresseur de torts, vouS écrivâtes : c’est bien dommage car les recttes sont sympatiques ! Si vous vous posez en docteur ès bonnes manières , du côté de l’orthographe il y a encore du taf. Cela dit pour ma part je vais me lancer en ce jour dans une recette de curry rouge que je proposerai à ma doudou que j’aime.(A SUIVRE) Miam
Couteaux
<3 Merci Pierre :)